Le ministre a adopté une méthode qui se résume en trois mots : anticipation, coordination et opérations "coups de poing" :
- anticipation de ces violences inadmissibles en développant la vidéoprotection, en établissant une "carte des protections" et en saturant le terrain sur les points chauds identifiés ;
- coordination en créant une "task force pour la sécurité des transports", véritable "QG" de commandement et en renforçant l'implication des acteurs locaux dans ce combat ;
- opérations "coups de poing" où les policiers bouclent, sans prévenir, un périmètre et opèrent un contrôle complet du site : filtrage, contrôles d'identité et interpellations si nécessaire.